"Expliquez-moi pourquoi l’agressivité n’est pas jugée pareillement sur chaque demi-terrain ? Dites-moi pourquoi Pagenkopf qui met énormément de pression ne termine le match qu’avec deux fautes ?"
Déçu et prostré à l’instar de tous ses coéquipiers, le meneur ibérique Llorente a modérément goûté à certains coups de sifflet (ou plutôt leur absence).
"J’avais déjà le même genre de ressenti avec Charleroi. On jouait contre de grosses équipes, on se rapprochait au score et puis des coups de sifflet tombaient en notre défaveur. Franchement, au niveau arbitrage, vous ne verriez jamais ça en Espagne."