La chronique d’Axel Merckx : “Pogacar est même capable de gagner Sanremo au sprint !”

Une chronique d’Axel Merckx.

Axel Merckx
Axel Merckx est sous le charme de Pogacar.
Axel Merckx est sous le charme de Pogacar. ©IPM/Belga

Vous l’avez sans doute compris si vous êtes fidèle à cette chronique, je suis sous le charme de Tadej Pogacar. La manière dont le Slovène a remporté Paris-Nice a assurément renforcé un petit peu plus encore l’admiration que j’ai pour le champion slovène. Ce que je trouve absolument fantastique chez lui, c’est sa faim de palmarès : il prend pratiquement le départ de chaque course ou de chaque étape pour la gagner si celle-ci est dans ses cordes, sans calculer. Je ne sais pas si c’est une soif de revanche qui l’animait sur une épreuve lors de laquelle il retrouvait un certain Jonas Vingegaard, qui l’a devancé sur le dernier Tour de France, mais il avait très certainement le besoin de se prouver qu’il pouvait battre le Danois. Cela ne veut pas dire pour autant que la hiérarchie est déjà établie pour juillet et la Grande Boucle, loin de là.

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