Andreï Tchmil, vainqueur à Sanremo en 1999 : “On m’a dit cet hiver que je n’avais pas les compétences pour devenir le CEO de l’équipe Lotto…”

Resté durant plus de vingt ans le dernier vainqueur belge de la Primavera, Andreï Tchmil s’est imaginé cet hiver revenir chez Lotto, son équipe “de toujours”

Andrei Tchmil est notre invité du week-end.
Andrei Tchmil est notre invité du week-end. ©D.R.

Le phrasé mâtiné de cette pointe d’accent slave a conservé l’élégance qui a toujours habillé Andreï Tchmil. Sexagénaire depuis la fin janvier, l’ex-emblématique coureur de l’équipe Lotto n’a rien perdu de la qualité d’un français qu’il pratique pourtant moins souvent qu’autrefois. Installé à Chisinau, la capitale moldave où il dirige une usine de cycles, le vainqueur de trois des cinq monuments du sport cycliste (Roubaix 94, Sanremo 99, Ronde 2000) s’est un temps imaginé cet hiver revenir vivre en Belgique afin d’y prendre la tête de l’équipe Lotto. “Cela aurait été une belle histoire, mais la vie en a décidé autrement.” Pendant plus d’une heure, le papa des petits Alexander et Ariana nous a accordé une longue interview durant laquelle la Belgique s’est toujours inscrite en filigrane. Entretien

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