Affable, poli et souriant : Caleb Ewan n’a pas changé. Le sprinter vedette de la formation Lotto-Soudal est resté fidèle à lui-même. "Ce qui n’a pas changé non plus, c’est que je ne parle toujours pas français ou néerlandais", s’excuse l’Australien en rigolant. "Même si cela fait sept ans que je vis à Monaco, même si j’entame ma quatrième année dans cette équipe belge, je n’y arrive pas. Ce n’est pas que je ne veux pas, mais cela ne rentre pas ! J’ai quitté l’école à 16 ans et j’ai l’impression que je ne sais plus concentrer mon cerveau sur ce type d’apprentissage. D’un autre côté, je me concentre tellement sur le vélo."
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