Il savait dans quoi il s’engageait, Jérémy Fréhen. Mais il a quand même été surpris par la rudesse des pavés de l’Enfer du Nord. Qui porte bien son nom. "C’est simple : c’était la guerre, c’était vraiment dur", commente le coureur liégeois, qui a terminé son premier Paris-Roubaix Espoirs, dimanche. "Je dois bien dire que je m’attendais à un truc un peu plus facile que ça ! Quand on voit à la télé comment les pros roulent sur certains secteurs, on se dit que cela devrait passer. Mais une fois que tu y es, sur ces pavés qui sont vraiment mauvais, là, tu te demandes comment c’est possible !"
Jérémy Fréhen : "C’était la guerre !"
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