Après son succès samedi dans l’étape-reine, le troisième déjà en une semaine, ce que personne n’avait plus réalisé sur Paris-Nice depuis Tom Boonen, il y a quinze ans, la victoire finale ne pouvait plus échapper à Primoz Roglic, croyait-on. Le Slovène, qui au sommet de Valdeblore-La Colmiane, avait distancé tous ses rivaux, pour venir ajuster sur la ligne le malheureux Gino Mäder, débordé par le TGV de Jumbo-Visma à 25 mètres de la ligne, possédait 52 secondes sur Maximilian Schachmann. P
Roglic a raté le coche à Paris-Nice: "J’ai commis des fautes"

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