Lorsqu’il a posé son regard sur le livre de route de cette 80e édition de Paris-Nice, Primoz Roglic a probablement dû s’armer de son indéfectible capacité à relativiser les signes du destin en constatant que la Course au Soleil se terminait cette année au bord de la Méditerranée un… 13 mars. Un chiffre que les superstitions du peloton ont érigé en nombre maudit mais qui glisse sur la carapace écorchée du Slovène comme une goutte d’eau sur un ciré breton. C’est que celui qui s’élancera ce dimanche de Mantes-la-Ville avec le statut de grand favori en a vu d’autres…
Roglic va-t-il enfin dompter la malédiction du maillot jaune sur Paris-Nice ?

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