À la charnière des XXe et XXIe siècles, Peter Van Petegem fut l’un de nos meilleurs spécialistes des classiques, surtout les "flandriennes". Vingt ans plus tard, s’il a disparu de l’actualité cycliste pure, il est resté présent dans le milieu sportif. Peter Van Petegem est toujours le battant et l’homme libre qu’il fut de 1992 à 2007 et qui lui valut des succès au Tour des Flandres (deux), Paris-Roubaix, Circuit Het Nieuwsblad (trois), GP E3, GP Escaut, Kuurne-Bruxelles-Kuurne, GP Isbergues (deux) ou 3 Jours de la Panne (deux). Sans parler des médailles d’argent et de bronze conquises aux Mondiaux 1998 et 2003.
Peter, aujourd’hui, vous travaillez dans les assurances.
"Oui, pour les assurances Concordia à qui j’ai vendu il y a quelques années mon bureau ProAssur. Je m’occupe d’une police pour les sportifs professionnels, pour les assurer en cas d’accident grave. On assure les sportifs, mais aussi des équipes ou clubs. Cela concerne surtout les coureurs et les footballeurs. C’est une assurance spéciale en cas de décès, d’invalidité temporaire ou permanente. Les sportifs sont assurés pour un capital qui peut aller jusqu’à cinq fois leur salaire annuel."
Bien s’assurer, c’est un nouveau réflexe pour les sportifs.
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