Adam Pinter a visité ce jeudi matin l’un des lieux communs les plus fréquentés par les footballeurs.
"On forme une famille sur et en dehors du terrain", a expliqué, posément, le défenseur de Ferencvaros. Sauf que la Hongrie navigue au-delà de ce poncif, formant un collectif uni et indivisible.
Il fallait voir ce mercredi à Lyon les joueurs et le staff communier comme un seul homme avec leurs fabuleux supporters en chantant l’hymne, la main sur le cœur.
Les Magyars n’ont pas de stars, mais ont fait de ce qui pouvait apparaître un point faible une force. Avec justesse, leur entraîneur adjoint, Zoltan Szelesi, rappelait que"Balazs Dzusdszak avait eu raison de dire qu’individuellement, les Portugais étaient meilleurs que nous mais, collectivement, nous étions plus forts".
Le groupe vit bien, peut-être encore mieux vu la dynamique collective qui le porte.
Mercredi soir, à Lyon, il a fêté sa qualification en dégustant des pizzas dans le vestiaire. Et les Hongrois sont persuadés qu’ils ont les moyens d’avoir droit à une nouvelle entorse diététique dimanche au Stadium de Toulouse après avoir affronté les Diables.
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