Cinquante matchs pour un sélectionneur, ça commence à compter. Même Roberto Martinez, d’habitude prompt à éluder ce genre de choses, a avoué sa satisfaction d’atteindre ce total symbolique ce dimanche.
"Et face au pays où j’ai lancé ma carrière de coach", sourit-il. "J’ai connu de grandes émotions, de beaux moments et nous avons maintenu cette équipe au sommet du classement Fifa. Ce 50e match est un moment important pour moi."