Le filtre imposé par Roberto Martinez pour ce rassemblement du mois de mars permettait de voyager dans le temps. Samedi à Dublin, les Diables sont revenus à une époque où ramener un point d’Irlande n’était pas une mauvaise chose. Une époque où ce n’est pas la Belgique qui dominait le classement mondial.
Une demi-heure comme des n°1, une heure comme des gamins: sans les stars, les Diables n’ont rien d’effrayant

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