Avec tout le respect qui s’impose envers Alin Stoica, Mbark Boussoufa ou Milan Jovanovic, Anderlecht n’a connu qu’un n° 11 magique : Robbie Rensenbrink, qui sera inhumé ce vendredi. L’occasion de revisiter sa carrière au travers de onze anecdotes.

1 L’Homme Serpent est né Après un hattrick contre des Hongrois

Comme Piet Keizer évolue à sa position d’ailier gauche à l’Ajax et Coen Moulijn, à Feyenoord, Robbie accepte d’aller de son club DWS Amsterdam au Club brugeois. "Même si je n’avais jamais entendu parler de cette formation. Mais Bruges quadruplait mon salaire", explique-t-il dans sa biographie. Son prix : 227 000 euros.

Il inscrit 17 buts en championnat et, comme il en avait l’habitude, il brille encore plus en Coupe d’Europe avec trois réalisations en quart de finale contre Ujpest Dozsa (5-2). L’entraîneur des Hongrois le compare à un serpent, parce qu’il se faufile partout. Son surnom est né : Resensebrink sera désormais l’Homme Serpent.

2 Sifflé pendant 61 minutes Il a d’emblée offert le titre à Anderlecht

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