Sans briller mais sans trembler, les Bruxellois ont rejoint Gand pour une finale qui s’annonce pleine de symboles et de retrouvailles.
Sept ans après, Anderlecht reverra le stade Roi Baudouin au printemps. Ce sera dans un mois et demi (le 16 ou le 17 avril) contre Gand, la dernière équipe que les Mauves avaient battu en finale de Coupe (2008).
Au Lotto Park, plein à craquer jeudi, tout le monde ne parlait que de ça, avant même le coup d’envoi. L’arrogance, c’était le piège à éviter contre Eupen. Mais il s’est vite avéré que c’était l’unique arme que les Germanophones, très peu ambitieux dans le jeu, pourraient utiliser pour tenter d’arracher la première finale de leur histoire.