Sclessin, l'Enfer… du Standard
Depuis de nombreux mois déjà, les supporters semblent avoir perdu cette passion, ou du moins ce pouvoir de réaction, qui permettaient aux joueurs de se transcender et de puiser dans leurs réserves pour accrocher un résultat.
Michael Franken
Publié le 26-02-2017 à 17h08 - Mis à jour le 28-02-2017 à 14h21
Les plus nostalgiques se souviendront des chaudes soirées européennes disputées au stade Maurice Dufrasne. Les plus jeunes se rappelleront les deux matches décisifs pour le titre remportés face à Anderlecht. Ces souvenirs ont, comme dénominateur commun, les déplacements toujours redoutés en bord de Meuse. Lorsque les équipes adverses priaient pour repartir avec un point de leur voyage en Cité Ardente, ce qui était déjà un événement rare. "Avant, nos adversaires arrivaient en se demandant combien de buts ils allaient prendre", nous disait dernièrement Didier Ernst.
Aujourd'hui, ce sentiment semble bien avoir disparu. Cette saison, le Standard a déjà concédé trois défaites devant ses supporters (Anderlecht, Bruges, Courtrai) et quatre nuls (Charleroi, Lokeren, La Gantoise, Malines). Ce sont, donc, au total dix-sept points qui ont...
Aujourd'hui, ce sentiment semble bien avoir disparu. Cette saison, le Standard a déjà concédé trois défaites devant ses supporters (Anderlecht, Bruges, Courtrai) et quatre nuls (Charleroi, Lokeren, La Gantoise, Malines). Ce sont, donc, au total dix-sept points qui ont...
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