À quelques heures de ce qui pourrait bien être le dernier déplacement européen de la saison, le CEO des Rouches, Alexandre Grosjean, fait le point sur plusieurs dossiers.
La campagne européenne, le niveau de jeu, l’avenir de Montanier, le mercato ou encore les finances, le dirigeant liégeois n’a éludé aucun sujet.
Comment jugez-vous la campagne européenne ?
"Je constate tout d’abord que, comparé aux saisons précédentes, nous avons passé trois tours préliminaires. Il fallait le faire et tout le mérite en revient aux joueurs et au staff. Ensuite, comme toujours, c’est le tirage au sort qui conditionne tout et comme souvent, on tombe sur de grosses machines. Que ce soit Benfica qui n’a rien à faire en Europa League, les Rangers qui est invaincu ou encore Poznan qui a éliminé Charleroi, alors leader de notre championnat. C’est vrai que le démarrage n’a pas été terrible avec ce zéro sur neuf mais le succès de la semaine dernière, dans les conditions que l’on connaît, est un beau témoignage de l’envie des joueurs de faire mieux que ça."
Le déplacement de ce jeudi s’apparente à une mission impossible.