Ishak Belfodil voulait quitter Abou Dabi. L’approche d’Olivier Renard a accéléré le processus.

Suite à l’épisode de la faillite de Parme, Ishak Belfodil, qui a résilié son contrat en mai 2015, se retrouve sans club pendant deux mois avant d’opter pour les Emirats. L’Algérien revient sur ce départ précipité à Abou Dabi et son retour en Europe, au Standard.

Après Parme, vous restez deux mois sans club.

"Du six mai au 28 juillet, j’étais au chômage après une année au cours de laquelle je n’ai perçu que trois mois de salaire. Mais encore une fois, mon train de vie m’a permis de ne pas être dans l’urgence. J’ai alors reçu quelques propositions, notamment émanant de Turquie mais je voulais un bon défi. Baniyas m’a contacté avec une très belle proposition financière que j’ai alors mise en suspens car ce n’était pas ma priorité d’aller là-bas. J’attendais la bonne proposition sportive."

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Olivier Renard prend alors contact avec vous.

"Il y avait des touches en Turquie et en Italie puis le Standard s’est manifesté via Olivier Renard. J’ai appris qu’il était venu me voir aux Pays-Bas lors d’un stage avec Baniyas mais je ne l’avais pas vu."

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