Dès qu’on pense qu’ils sortent la tête de l’eau, ils y replongent.
Tête basse, genou à terre ou encore allongé au sol. Voici les positions préférées des Standardmen, cette saison, au coup de sifflet final des matchs. Les scènes de joie ne sont pas légion en bord de Meuse et, quand elles réapparaissent comme à l’Antwerp, elles sont rapidement balayées d’un revers de la main la semaine suivante. Depuis de trop nombreuses semaines, le groupe de joueurs semble totalement perdu, comme désarticulé, incapable de sortir de sa léthargie de façon définitive.
"On doit débuter une série", "il faut qu’on travaille", "c’est important de ne pas baisser les bras" : autant de phrases bateau auxquelles on a droit, semaine après semaine.