L’histoire de Felipe Avenatti est peu banale. Elle commence dans un petit appartement de la capitale uruguayenne, Montevideo. "Même si c’était petit, je vivais 24 heures sur 24 avec une balle. Une balle de football, une balle de tennis, peu importe, il fallait que joue au foot. J’avais ça en moi."
Habitant à deux pas du stade Centenario, l’attaquant a convaincu ses parents de l’inscrire dans une école de football jusqu’à ses 12 ans, avant d’être recruté par le club de River Plate (D1 urugayenne). "J’ai fait toute ma jeunesse là-bas, jusqu’à l’équipe première que j’ai intégrée à 18 ans." Alors qu’il venait de commencer des études de comptabilité. "Mais je n’ai fait que six mois car cela demandait trop de temps et j’avais donné la priorité à ma carrière. Mais j’ai quand même appris l’anglais."
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