Arrivé lors du dernier mercato à l’Union via un prêt de 18 mois, Koki Machida raconte ses premières semaines chez nous, son début de carrière et ses espoirs d’aller jouer plus haut, un jour, à l’image de Tomiyasu, passé de Saint-Trond à Arsenal en quelques saisons.
Le changement de continent : "Très différent de chez moi"Né à Ibaraki, dans la préfecture du même nom, sur l’île principale du Japon, Machida découvre un tout autre environnement, entre Bruxelles et la région anversoise, où l’Union s’entraîne. "Ma première réaction en arrivant a été : ‘OK, donc c’est ça, Bruxelles : la principale ville de Belgique, mais aussi une vieille cité pleine d’histoire.’ On sent toute la tradition. J’aime assez bien ce type de ville et il y en a aussi au Japon, d’ailleurs, mais si on la compare à de grandes métropoles de mon pays, c’est très différent. Bruxelles a l’air d’être une ville facile à vivre. Bon, je n’ai pas vraiment eu l’occasion de faire du tourisme… pas encore. Mais j’ai pu le constater en passant en voiture."
(...)