Statistiquement, aucun danger anderlechtois n'a été mesuré en deuxième mi-temps (<0,01 xG).
Les différences ont sauté aux yeux. D'abord, dans les duels, où les hommes de Vincent Kompany n'en ont remporté que 43% contre 54% pour ceux de Felice Mazzú (aucun "vainqueur" n'étant attribué aux 3% restants). Puis dans le pressing aussi, celui des Unionistes étant près de trois fois plus intense que celui des Mauves (14,7 PPDA contre 5 PPDA).