De nombreux Sud-Américains parviennent à quitter leur bidonville grâce au football, dribblant la drogue, la violence et la pauvreté. Cette trajectoire ne colle absolument pas à la réalité de Daniel Perez (19 ans).
Diplômé dans l’un des collèges privés les plus réputés de Caracas, le jeune homme a passé sa jeunesse dans un contexte très favorisé, grâce notamment au métier de son paternel, Leonardo Perez, ingénieur informatique. Ce dernier a accepté depuis le Venezuela de nous parler de son fils, avec l’objectivité d’un père...