Patrick Declerck devait être le président qui devait rendre à Mouscron un visage plus humain. " Ce n’est pas le football en soi qui m’intéresse mais la promotion de ma ville" , se plaisait-il à rappeler dans nos colonnes il y a deux ans.
Il était censé incarner un visage jovial "à la Detremmerie’’ sans les arcanes ambitieux de celui qui avait construit de A à Z et anéantit par la folie des grandeurs le matricule 224. "À la différence du temps de feu l’Excelsior, le club est bien mieux géré maintenant. La différence réside dans la gestion. Chaque facture est payée directement. Il ne faut pas jouer au riche quand on n’a pas le sou’’, certifiait-il alors que l’Excel impressionnait la Belgique entière sous la direction de Bernd Storck en 2019.