Des phases construites depuis l’arrière, un jeu très rapide vers l’avant lorsque les espaces se sont ouverts et des éléments offensifs redoutables, l’Union Saint-Gilloise n’a pas perdu ses valeurs de la saison passée, malgré son changement d’entraîneur durant la trêve. "Nous avons gardé un effectif assez similaire donc l’entraîneur ne veut pas tout chambouler, car ça a bien fonctionné. Il essaye d’apporter sa touche, influencée par le jeu espagnol. Avec tout de même un dispositif différent, car on passe du 4-4-2 à un 4-3-3", analysait Kevin Kis, l’arrière unioniste.
Les Bruxellois se sont même (...)