Sur la pelouse détrempée de l’ Opel Arena, le Sporting post-mercato estival a été dominé comme il ne l’avait encore jamais été cette saison mais il a réussi l’exploit de ne pas être battu par une équipe de Mayence plus forte dans tous les secteurs de jeu mais surprise par un but tombé de nulle part sur une tête de Teodorcrzyk, encore lui.
Longtemps, les Allemands ont donné une leçon de football aux Anderlechtois. Plus véloces, plus vifs et plus puissants, les joueurs du Karnevalsverein (littéralement club de carnaval, le surnom du club de cette ville réputée dans toute l’Allemagne pour son carnaval) auraient normalement dû faire la différence en première période. Les 10 tirs au but à 3 qui s’affichaient sur le tableau de statistiques à la pause étaient là pour le démontrer.
Découvrez la suite de cet article dans notre Edition Abonnés. Si vous n'êtes pas encore inscrit, découvrez nos offres et nos tarifs ci-dessous.