Pep Guardiola a pris son temps. Parce qu’il ne voulait pas réagir à chaud pour regretter ses propos ? Parce qu’il s’était incliné pour la sixième fois face à José Mourinho, dont la manière de jouer reste aux antipodes de la sienne ? Ou parce que ses hommes ont définitivement abandonné les ultimes et minces espoirs de titre à Liverpool, qui, mathématiquement, pourrait être sacré dès le 29 février si City et Leicester continuent à perdre des points ou plus vraisemblablement le 21 mars contre Crystal Palace si les Reds gardent la même allure ?
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City, sale coup de folie

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