Les larmes qui ont coulé après la disparition de Diego Maradona ont à peine eu le temps de sécher que l’Italie pleure à nouveau. Pour Paolo Rossi. Pour celui qu’elle appelait Paolito. Pour l’un de ses héros, qu’elle a aimé éperdument et qui a campé ce rôle comme dans les romans. Quelque part entre ombre et lumière.
Aux yeux du monde, Paolo Rossi est et restera pour la postérité l’homme de la Coupe du monde 82. Celui qui a offert à la Squadra sa troisième étoile, celle qu’il a fait briller alors qu’il ne devait pas être en Espagne.
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