La chronique de Jean-Marc Gheraille
Ce titre pourrait paraître volontairement et même inutilement provocateur. Au-delà d’une impression diffuse, une étude officielle et scientifique des universités du Kent et d’Oxford le prouve : les défaites créent davantage de liens forts que les victoires.
En Premier League, où l’étude a eu lieu, ce sont les supporters (c’est un mot très british…) de Crystal Palace et de West Bromwich, pas vraiment des cadors, qui possèdent le plus grand attachement à leurs couleurs. Au contraire des fans (tiens, encore un mot anglais) de Liverpool, Chelsea ou Manchester United plus volages.
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