Propre, net, sans bavure et sans véritable suspense. Mais avec un sentiment de libération et une joie qui a enfin pu exploser au bout de ces barrages. Les Portugais et les Polonais ont vécu, à 2 800 kilomètres les uns des autres, une soirée assez similaire. À la seule différence près que la soirée à Wrocław a été disputée.
Amputée de Zlatan Ibrahimovic (pas à 100 % et qui n’est monté qu’à la 80e minute), la Suède a longtemps fait jeu égal avec la Pologne où Robert Lewandowski était quant à lui bien titulaire. Et c’est d’ailleurs lui qui, au milieu d’un match étonnamment assez discret, a libéré son équipe en transformant un penalty (50e : 1-0).