"Travail, travail, travail." Le mot est martelé plusieurs fois. Il semble même obséder le vocabulaire de Rudi Vata. S’il le répète à outrance, c’est parce que c’est à force de "travail" que le nouveau conseiller sportif de l’Excel s’en est sorti. "Quand je suis arrivé à Cottbus, on m’appelait le Beckenbauer albanais. Mon entraîneur s’en moquait. En Allemagne, si tu n’es pas 20 % plus fort qu’un Allemand, tu ne joues pas", explique l’ancien joueur du Celtic Glasgow. Mais le travail n’est rien sans la persévérance et la volonté. Et il en a fallu à Rudi Vata lorsqu’il a décidé de ne plus revenir dans son pays.
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