Sept teams F1 dénoncent le régime de faveur dont jouit actuellement Ferrari.

Cela ne date pas d’hier. Ancien G.O. des Grands Prix, Bernie Ecclestone l’avait toujours clamé haut et fort : "La F1 ne peut se passer de Ferrari, la marque la plus emblématique et historique."

Une Scuderia qui fêtera cette année son millième départ en F1. Depuis presque toujours, l’écurie de Maranello jouit de certains privilèges. Essentiellement financiers. En gros, elle touche plus que les autres lors de la répartition des gains de la F1. Et lorsque les Américains de Liberty Media parlent de lui supprimer cette sorte de "prime d’ancienneté et de popularité", le "Cheval cabré" menace d’aller courir ailleurs.

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