Charles Leclerc aurait déjà pu gagner à quatre ou cinq reprises cette année. À Bahrein et en Autriche bien sûr, où il menait jusqu’à quelques tours de l’arrivée, mais aussi sans les erreurs de Bakou, de Monaco (le team) ou de l’Allemagne.
Ce dimanche à Francorchamps, le Monégasque de 21 ans a enfin transformé l’essai (sa 3e pole) au terme d’un GP de Belgique tout au long duquel, bien servi par un moteur Ferrari lâchant toute sa cavalerie dans les longues lignes droites ardennaises, il aura affiché sa suprématie.
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