Dans le stand de Mercedes, on faisait grise mine. Les cerveaux de l’écurie allemande sont conscients que si Sebastian Vettel n’avait pas dû s’arrêter une deuxième fois à son stand, jamais elle n’aurait placé ses deux voitures dans le top 3. Les Flèches d’argent sont réputées pour leur polyvalence mais à Spa-Francorchamps, là où la vitesse de pointe est cruciale, les Ferrari les ont matées, et ce pendant tout le week-end. La puissance du bloc italien a fait la différence par rapport à son homologue teuton.
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