Il y a deux mois à peine, j’étais encore aux cours à l’Université du Tennessee et aujourd’hui me voilà à Santiago, capitale du Chili, en plein confinement. Le destin prend parfois des détours vraiment inattendus !"
À l’autre bout du fil, Jonathan Sacoor, du haut de ses 20 ans, semble prendre les événements avec philosophie. "Je n’ai pas vraiment de raison de me plaindre", dit-il. "Il fait 27 degrés, j’ai le jardin, la piscine, je peux encore m’entraîner et j’ai été très bien accueilli par les parents de ma copine. Franchement, je me sens très bien pour le moment."
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