Qui est vraiment Patrick Rémy, le président de l’Olympic de Charleroi ? L’homme d’affaires a accepté de lever un coin du voile, à un jour du coup d’envoi des huitièmes de finale de Coupe.
Devenir président du matricule 246, était-ce un rêve ?
"À 25 ans, tu ne penses pas à cela. Mais quand on m’a approché pour m’occuper de l’école des jeunes de l’Olympic, à l’époque d’Alibhai, j’y ai songé. Mais cela n’a pas pu se faire. On m’a proposé Châtelet et j’ai pu y réaliser du bon travail avec une belle équipe. Il y a deux ans, les Dogues étaient à nouveau une possibilité. Je n’ai pas hésité."
Faut-il être sado-maso pour être président d’un club de football ?
"C’est vrai que cela ne rapporte rien, financièrement. Par contre, c’est un autre monde, avec de belles rencontres, avec d’autres présidents, certains joueurs ou avec les supporters."
Vous avez une tendresse pour eux…