Le Thimistérien exerce un second mandat au sein de l’UEFA. Il œuvre au fair-play et à la responsabilité sociale dans le monde du foot.


Celui qui est viscéralement attaché à l’Etoile Elsautoise vit aussi - et on le sait peut-être moins - à l’heure suisse depuis un lustre. Reconduit après un premier cycle de quatre années de travail, Gaston Schreurs poursuit donc son chemin parmi les dix-neuf commissions qui participent à l’élaboration de la politique de l’UEFA, couvrant tous les aspects du football européen.

Le dirigeant qu’il est prend à cœur cette activité de longue haleine, mêlant plusieurs volets, du racisme aux personnes à mobilité réduite, en passant par le cécifoot, les sans-abri, la diététique ou encore le développement durable.

"Nous nous penchons pour le moment sur ce qu’on appelle les Black Matter. Nous avons encore connu quelques dérapages à ce sujet dans les pays de l’Est. La Belgique, par le côté multiculturel de l’équipe nationale et sa première place au ranking mondial, sert un peu de modèle à ce niveau.

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