Athus rêve d’un premier succès dans le derby
Dernières en Promotion, les Athusiennes n’ont pas encore gagné.
Publié le 23-02-2023 à 12h08
:focal(805x545:815x535)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/ipmgroup/FZAEJKSTIJHMDCSH5NKNVAIHSE.jpg)
Pendant six ans, Perrine Stoffler a usé ses genouillères au Stabulois. Avant d’arrêter le volley et de reprendre voici quelques mois à Athus. ” Car j’attendais un heureux événement. Et je ne comptais pas reprendre, j’avais vraiment envie de prendre du temps pour ma famille. Finalement, c’est Hélène Pirenne qui m’a convaincue de venir à Athus, souffle Perrine Stoffler. Et puis, il y avait la présence de Jean-François Collet. C’était mon coach à mes débuts à Aubange, je l’avais retrouvé au Stabulois et je l’ai donc encore maintenant à Athus. Si je le suivrai encore s’il change de club ? Non non, je suis bien à Athus (rires). Le Stabulois ? Cela reste un match spécial, mais surtout quand il se joue là-bas. Chez nous, ce sera différent. Et puis, l’équipe a quand même pas mal changé depuis mon époque. Moi, j’ai encore joué avec Lucie Villers et Chloë Van Geesbergen, mais c’est tout. L’équipe s’est rajeunie.”
Dernières au classement, les Sudistes gardent espoir. ” Est-ce que nous avons une chance de prendre des points face au Stabulois ? Oui, j’en suis convaincue. Je pense que nous pouvons vraiment prendre des points contre tout le monde, assure Perrine Stoffler. Notre niveau de jeu est généralement assez équivalent aux adversaires, nous faisons jeu égal à chaque match ou presque. Mais nous manquons d’un leader sur le terrain, quelqu’un qui peut relever l’équipe lorsque nous avons un coup de moins bien. Ici, si une fille sombre, tout le monde sombre en même temps.”