Cette fois, les Namuroises sont vraiment au pied du mur en R1

Concerné par le maintien, Namur va avoir droit à deux matches importants en 24 h.

Loïc Ménagé
Justine Giaux est arrivée à Namur cet été. Et malgré les résultats compliqués, elle ne regrette pas son choix.
Justine Giaux est arrivée à Namur cet été. Et malgré les résultats compliqués, elle ne regrette pas son choix. ©EDA

Qui aurait cru voici encore six mois que Namur serait en lutte pour le maintien en R1 ? Personne. Et pourtant, à la mi-février, les Namuroises ne totalisent que cinq victoires et la descente devient une réelle menace. “C’est une période très compliquée, admet Justine Giaux. Nous avons un gros mois de février avec des rencontres face à des concurrents directs, il ne faudra pas se louper. Jamais nous n’aurions pu imaginer nous retrouver dans une telle situation. Je rappelle qu’en début de saison, nous avons battu des équipes comme Huy et Ciney. Et puis, place à la descente aux enfers. Quand tu perds chaque week-end, tu te démobilises et c’est compliqué de voir un groupe soudé. Mais il faudra se donner jusqu’au bout. La saison est encore longue et il faudra tout donner.”

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