L’autre regard : Changements de côtés, balles neuves
Mon Dieu, mais qu’il est tristounet, ce Roland-Garros. On s’était pourtant préparés à ne pas voir grand monde dans les tribunes.
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Miguel TassoChroniqueur
Publié le 29-09-2020 à 16h52
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Mon Dieu, mais qu’il est tristounet, ce Roland-Garros. On s’était pourtant préparés à ne pas voir grand monde dans les tribunes. Mais là, avec ce froid, ces averses, ces rares spectateurs emmitouflés et ces juges de ligne masqués, on se croirait plongés dans un mauvais film de science-fiction....
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