Les parents ayant des enfants qui pratiquent le tennis et qui commencent à bien performer vous diront que l’aspect financier joue un rôle important dans l’élaboration d’une saison. Entre les frais pour les entraînements, l’achat du matériel, les voyages en Belgique pour les compétitions mais aussi à l’étranger pour les meilleurs, les montants peuvent vite grimper. Toutes les aides extérieures sont alors bonnes à prendre. Et si celles-ci émanent d’une structure qui a fait ses preuves depuis presque une décennie, c’est encore mieux.
Travaillant pour le bien du tennis belge, la Fondation d’utilité publique Hope And Spirit dont le leitmotiv est "Le tennis c’est bien, les études et le tennis c’est mieux !" viendra encore en aide en 2021 à une septantaine de jeunes joueurs belges via, notamment, l’octroie de bourses. Ce qui peut s’apparenter à un petit miracle vu la crise traversée par de nombreux sponsors suite au Covid-19. Fondateur de Hope and Spirit, Daniel Meyers revient sur une année très spéciale où il a dû se battre pour décrocher les budgets nécessaires à la mise en place des bourses pour 2021.
Monsieur Meyers, comment s’est déroulée la recherche des fonds pour l’octroi des bourses en 2021 ?
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