C’est l’une des belles histoires belges de Roland-Garros. En 1997, Filip Dewulf, 122e mondial, sort des qualifications et se hisse jusqu’en demi-finale où il s’inclinera face au futur vainqueur, Gustavo Kuerten. Une histoire qu’aurait aimé raconter le Filip Dewulf version 2.0. Celui qui, après une belle carrière tennistique, est parvenu à devenir un journaliste important du milieu.
Filip Dewulf, quand avez-vous pensé à votre après-carrière ?
"Jamais. Faire du journalisme, c’est venu par hasard. Vers la fin de ma carrière, en 1999-2000, j’étais souvent blessé. Le Belang van Limburg et La Libre Belgique m’ont demandé d’écrire un billet pendant Roland-Garros. Cela m’a plu et apparemment aux lecteurs aussi. C’est comme cela que je suis rentré dans le métier. J’ai ensuite assuré des commentaires à la VRT puis j’ai commencé à écrire au Het Laatste Nieuws où je travaille toujours."
Comme joueur, aviez-vous une passion pour l’écriture ?