Arthur De Greef, c’est l’exemple parfait du terrien belge. Il déteste les surfaces dures au point qu’il a toujours cherché à les éviter du temps où il était joueur. Retraité depuis quelques mois, il a gardé un œil sur les circuits ATP et WTA. Il regrette l’évolution du jeu.
Arthur De Greef, comment expliquez-vous votre amour pour la terre battue ?
"Je l’aime 1 000 fois plus que les autres surfaces. Quand j’étais jeune, je recherchais toujours le jeu d’échecs durant les matchs. Je m’amusais à construire un point en établissant des stratégies. J’adaptais toujours mon jeu à celui de l’adversaire.